Le Studio d'IA pour le climat de Mila vise à combler l’écart entre la technologie et l'impact afin de libérer le potentiel de l'IA pour lutter contre la crise climatique rapidement et à grande échelle.
Le programme a récemment publié sa première note politique, intitulée « Considérations politiques à l’intersection des technologies quantiques et de l’intelligence artificielle », réalisée par Padmapriya Mohan.
Hugo Larochelle nommé directeur scientifique de Mila
Professeur associé à l’Université de Montréal et ancien responsable du laboratoire de recherche en IA de Google à Montréal, Hugo Larochelle est un pionnier de l’apprentissage profond et fait partie des chercheur·euses les plus respecté·es au Canada.
Nous utilisons des témoins pour analyser le trafic et l’utilisation de notre site web, afin de personnaliser votre expérience. Vous pouvez désactiver ces technologies à tout moment, mais cela peut restreindre certaines fonctionnalités du site. Consultez notre Politique de protection de la vie privée pour en savoir plus.
Paramètre des cookies
Vous pouvez activer et désactiver les types de cookies que vous souhaitez accepter. Cependant certains choix que vous ferez pourraient affecter les services proposés sur nos sites (ex : suggestions, annonces personnalisées, etc.).
Cookies essentiels
Ces cookies sont nécessaires au fonctionnement du site et ne peuvent être désactivés. (Toujours actif)
Cookies analyse
Acceptez-vous l'utilisation de cookies pour mesurer l'audience de nos sites ?
Multimedia Player
Acceptez-vous l'utilisation de cookies pour afficher et vous permettre de regarder les contenus vidéo hébergés par nos partenaires (YouTube, etc.) ?
Studies combining metabolomics and genetics, known as metabolite genome-wide association studies (mGWAS), have provided valuable insights in… (voir plus)to our understanding of the genetic control of metabolite levels. However, the biological interpretation of these associations remains challenging due to a lack of existing tools to annotate mGWAS gene-metabolite pairs beyond the use of conservative statistical significance threshold. Here, we computed the shortest reactional distance (SRD) based on the curated knowledge of the KEGG database to explore its utility in enhancing the biological interpretation of results from three independent mGWAS, including a case study on sickle cell disease patients. Results show that, in reported mGWAS pairs, there is an excess of small SRD values and that SRD values and p-values significantly correlate, even beyond the standard conservative thresholds. The added-value of SRD annotation is shown for identification of potential false negative hits, exemplified by the finding of gene-metabolite associations with SRD ≤1 that did not reach standard genome-wide significance cut-off. The wider use of this statistic as an mGWAS annotation would prevent the exclusion of biologically relevant associations and can also identify errors or gaps in current metabolic pathway databases. Our findings highlight the SRD metric as an objective, quantitative and easy-to-compute annotation for gene-metabolite pairs that can be used to integrate statistical evidence to biological networks.